Contenus relatifs à « Terrorisme »
La chaîne de télévision privée Alter a été à nouveau prise pour cible, samedi matin peu avant 11h30, par des inconnus qui ont tiré neuf coups de feu devant ses locaux dans le quartier de Peristeri, dans la grande banlieue d'Athènes ; bien que le simple fait divers ne soit pas exclu, la classe politique s'est empressée à condamner un attentat terroriste contre "la liberté de la presse".
La série de violences terroristes ouvert depuis les émeutes de décembre dernier a continué jeudi soir, en Grèce, avec une explosion qui s'est produite vers 21h30 à l'intersection de l'avenue Alexandras et de la rue Koniari dans le centre d'Athènes, dans le district de Ambelokipi, causant d'importants dégâts mais sans blessés.
Le groupe "Lutte révolutionnaire" a revendiqué mercredi la responsabilité des deux attentats perpétrés contre la banque "Citibank" à Athènes par un tract adressé à l'hebdomadaire "Pontiki".
Par un CD-Rom envoyé au quotidien d'Athènes Ta Nea, l'organisation terroriste "Secte des révolutionnaires", nouvellement apparue début février, a revendiqué samedi l'attentat perpétré mardi dernier contre la chaîne de télévision Alter, et annonce la suite d'autres actions.
Les services spécialisés de la Police grecque (ELAS) ont désamorcé mercredi matin une bombe à l'extérieur d'une agence Citibank à Kifissia, qui aurait pu provoquer de très importants dégâts, non seulement pour la banque mais aussi dans un très grand rayon autour.
Par un mitraillage qui n'est pas sans rappeler celui du poste de police de Korydallos au début du mois, des inconnus ont ouvert le feu mardi, peu après 19 heures, contre la chaîne de télévision privée Alter à Peristéri, sans toutefois faire de blessés ; l'attentat a été vivement condamné par le gouvernement, le monde politique et l'Union des journalistes.
Un groupe inconnu jusqu'à présent de la Police hellénique "Secte des révolutionnaires / Σέχτα επαναστατών" a revendiqué mercredi l'attaque à l'arme automatique contre un commissariat du quartier de Korydallos, à Athènes, mardi matin où heureusement il n'y avait pas eu de victimes.
Trois ou quatre personnes ont tiré des coups de feu à plusieurs reprises à l'arme automatique vers 04h15 mardi et lancé une grenade - qui n'a pas explosé -, provoquant des dégâts matériels, sans faire de blessés.
Le groupe "Lutte révolutionnaire", considéré comme le groupe terroriste le plus actif depuis le démantèlement du tristement célèbre "17 Novembre", a revendiqué trois récents attentats, dont le mitraillage des policiers début janvier, en envoyant un tract au journal "To Pontiki".
Un policier âgé de 20 ans a été grièvement blessé dans la nuit de dimanche à lundi par des inconnus qui ont tiré contre la patrouille qui assurait la garde du ministère de la Culture dans le quartier d'Erxarchia, au centre d'Athènes.