Sur le marché obligataire, où s'échange la dette déjà émise, le taux des emprunts à échéance dix ans de la Grèce ressortait à 3,02%. Plus tôt en séance, le taux français atteint 3,05%, marquant un écart à la faveur de la Grèce, minime, mais symbolique plus de dix ans après la crise de la zone