Prié de dire s'il croyait à une résolution de la crise grecque, le président de la BCE a répondu : "Je ne sais pas, cette fois c'est réellement difficile".
Alexis Tsipras doit formuler ce jeudi ses propositions à ses créanciers et partenaires européens s'il veut obtenir une nouvelle aide financière et rester dans la zone euro.
Alexis Tsipras doit formuler ce jeudi ses propositions à ses créanciers et partenaires européens s'il veut obtenir une nouvelle aide financière et rester dans la zone euro.
Alexis Tsipras doit formuler ce jeudi ses propositions à ses créanciers et partenaires européens s'il veut obtenir une nouvelle aide financière et rester dans la zone euro.
Le président de la Banque centrale européenne (BCE) ne s'est guère montré rassurant dans le journal italien Il Sole 24 Ore. Comme le rapporte l'agence Reuters, Mario Draghi a déclaré ne pas être certain que la crise grecque sera réglée.
C'est l'heure de vérité. Celle où l'arbitre doit, malgré lui, siffler, ou non, la fin de la partie. La Banque centrale européenne (BCE) tient aujourd'hui le sort des banques hellènes entre ses mains. Et par extension, celui de la Grèce.
Les électeurs grecs ont donc tranché. Leur non aux mesures mises sur la table des négociations par les créanciers fait basculer leur pays «dans l'inconnu», «dans le vide», comme l'a dit François Hollande.
Attendue ce mercredi, la réunion du conseil de la BCE a débouché sur la prolongation en l'état de l'aide aux banques grecques, qui ne doit plus augmenter depuis dimanche dernier.
La banque centrale européenne (BCE) est plus que jamais au centre du jeu financier et politique dans le psychodrame grec. N'en déplaise à son président Mario Draghi qui tente de minimiser ce rôle politique de l'institution monétaire.