Les Grecs ont avoir redonné leur confiance à Alexis Tsipras. Les premières projections officielles ont attribué à la coalition de la gauche radicale (Syriza) 35,5 % des voix, soit 145 sièges.
Alexis Tsipras vient d'arriver tout sourire, vers 20 heures dimanche, au siège de son parti, Syriza. Pour la troisième fois de l'année les électeurs grecs lui ont fait confiance.
Alexis Tsipras vient d'arriver tout sourire, vers 20 heures dimanche, au siège de son parti le Syriza. Pour la troisième fois de l'année les électeurs grecs lui ont fait confiance.
De plus en plus fatalistes et désenchantés, les Grecs ont regardé de loin la campagne législative, ne parvenant pas à s'y intéresser, ni même à se décider à aller voter, dimanche, pour la troisième fois de l'année.
Fils de député d'origine crétoise, Evangelos Meïmarakis a toujours voulu soigner sa moustache, marque de fabrique originelle qui rappelle ses ancêtres, et ce, même s'il est né à Athènes.
A quinze jours des élections législatives anticipées en Grèce, l'opposition de droite grimpait dans les sondages, au coude à coude avec le parti de gauche radicale Syriza d'Alexis Tsipras, tirant profit d'une montée en popularité de son chef, Evangélos Meïmarakis.
Quand Charilaos Florakis, l'une des figures emblématiques de la gauche, secrétaire général du Parti communiste grec (KKE) pendant près de deux décennies (1972-1989), a appris la démission de Panagiotis Lafazanis de son parti au début des années 1990, il a lancé: «Nous avons un problème.» Une phra
Le chef du parti conservateur grec a renoncé ce lundi 24 août à former un gouvernement de coalition et a rendu au chef de l'Etat le mandat qui lui avait été confié après la démission du premier ministre Alexis Tsipras.