«Sarkozy condamné à 1 an de prison, peine aménagée avec bracelet électronique, mais que fait-il alors en Grèce ?» Le 25 août, @Nadelaplume, comme de nombreux internautes avant lui, s'étonne sur Twitter d'une «Une» de Paris Match témoignant de l'«odyssée amoureuse» de l'ancien président de la Répu
7 janvier 2010, à Paris. Nicolas Sarkozy, alors président de la République, émet un souhait. «Créer au Louvre un département consacré aux arts des chrétientés d'orient, des empires byzantins et slaves». Plus de dix ans plus tard, ce vœu va être réalisé.
Qu'est-ce qu'un chef ? Cette question a hanté la France pendant toute cette année de campagne présidentielle. Elle l'a hantée pendant les cinq ans du mandat de François Hollande, tant il était évident que le président en titre ne parvenait pas à se couler dans les habits de chef de l'État.
Jeudi, en fin de matinée, une assistante de direction, travaillant pour le secrétariat du représentant en France du Fonds monétaire international (FMI), a été blessée par l'explosion d'un courrier piégé alors qu'elle ouvrait une enveloppe arrivée par La Poste.
Après qu'un accord a finalement été trouvé ce lundi matin, au terme de plusieurs heures de discussions restreintes entre Donald Tusk, François Hollande, Angela Merkel et Alexis Tsipras, certains responsables de droite ont voulu minimiser l'action du président de la République.
+ VIDEOS - L'accord sur la Grèce sera soumis au vote des députés français mercredi. Manuel Valls a appelé Nicolas Sarkozy à «?dépasser les petits clivages et les petites positions?».
Un accord unanime en Europe mais d'innombrables divisions en France. Telle est la situation provoquée par la crise grecque, sur laquelle les politiques français ont exprimé des divergences.
Alors que s'ouvrait, dimanche 12 juillet, à Bruxelles, un sommet des chefs d'Etat de la zone euro sur la Grèce, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy a critiqué la gestion de ce dossier par son successeur.