Venu à Athènes pour la première visite en 65 ans d'un chef d'Etat turc, et avec la volonté affichée par les deux pays d'améliorer leurs relations, Recep Tayyip Erdogan a consacré une partie de sa rencontre avec le président Prokopis Pavlopoulos à formuler des doléances.
Qu'on se le dise, il existe des leaders politiques courageux qui savent résister aux sirènes de la xénophobie en prononçant des paroles fortes, émouvantes, dans cette Europe devenue si frileuse.
«Pour mon dernier voyage à l'étranger, j'ai pensé qu'il était particulièrement approprié de visiter ce grand pays, qui est le berceau de la démocratie, la source de tant d'idéaux et de valeurs qui ont servi à construire l'Amérique.» Ces mots de Barack Obama, prononcés à Athènes, le 15 no
«Il n'est pas possible de venir en Grèce sans visiter l'Acropole.» Cette petite phrase convenue mais sympathique de Barack Obama, prononcée face au président de la République hellénique Prokopis Pavlopoulos, donne le ton détendu et souriant de cette visite de travail dans la capitale grecque, pre
Le président grec Prokopis Pavlopoulos a accusé lundi les autorités portuaires en Turquie de soutenir les passeurs, ce qu'un haut responsable turc a démenti avec vigueur.
Le chef de l'Etat grec a aussi enjoint Ankara à remplir ses engagements dans la crise migratoire.
François Hollande en terrain conquis, venu récolter ses lauriers. Accueilli, ce jeudi après-midi, à l'aéroport d'Athènes par le premier ministre grec Alexis Tsipras, le président n'a pas boudé son plaisir, répondant avec une certaine gourmandise aux journalistes français, dès son arrivée.
Trois mois après l'accord trouvé in extremis entre la Grèce et ses créanciers, le déplacement de François Hollande à Athènes, jeudi et vendredi, pourrait se résumer ainsi, selon un responsable PS: «que-du-bonheur!».