La nouvelle proposition soumise par le gouvernement grec à ses créanciers a fait renaître l'espoir qu'un accord puisse être conclu in extremis pour permettre le maintien du pays dans la zone euro. Le parlement grec a commencé à l'examiner vendredi 10 juillet.
«Je vous appelle à soutenir l'effort du gouvernement en vue d'un accord», a lancé aux parlementaires Dimitris Vitsas, député Syriza - la gauche radicale au pouvoir. Il a pris la parole au nom de la majorité devant la commission parlementaire qui examine en procédure d'urgence l'offre déposée vendredi soir par Athènes.
Des membres de la majorité ont exprimé leurs divergences dans une déclaration très dure prônant une sortie de l'euro. Plusieurs milliers de manifestants de gauche se sont aussi rassemblés en soirée en signe de protestation devant le parlement.
«Décision majeure»
Après un premier examen en...