Ces extraits appartiennent à Polyidos et Ion, dont les traces conservées jusqu’ici diffèrent des fragments étudiés par deux chercheurs universitaires américains.
Phèdre, pour délaver sa honte d'avoir mis à nu son amour illégitime pour le fils de son époux Hippolyte, se suicide en laissant une lettre accusant le jeune arrogant qui avait persiflé sa passion...