Pour son premier match amical de préparation avant l'Euro, la Belgique n'a pas impressionné face à la Grèce (1-1). Ce ne fut pas brillant mais n'y a pas de quoi s'alarmer non plus. Voici pourquoi.

Les Diables rouges n'ont pas convaincu les différents médias européens. Après leur match nul contre la Grèce, ils ont déçu offensivement comme défensivement.

Europe 1 vous emmène des deux côtés de la frontière de l'Europe pour voir comment l'Union européenne tente de contenir l'arrivée de migrants et demandeurs d'asile : en Turquie, où vivent près de 4 millions de réfugiés syriens, et de l'autre côté de la frontière, en Grèce. 

Teleperformance n'est "pas un nom familier", constate une journaliste grecque sur Rest of World. La multinationale, dont le siège social se trouve en France, est pourtant l'un des plus grands centres d'appels au monde, utilisé par Apple, Sony,

À un peu plus d'une semaine de son entrée en lice à l'Euro le 12 juin, contre la Russie, la Belgique a buté sur la Grèce jeudi (1-1). Sans forcer ni franchement maîtriser son sujet face à un adversaire décomplexé et audacieux.

C'est généralement l'évènement qui lance une grande compétition. Le premier match de préparation représente toujours le coup d'envoi des choses sérieuses. Face à la Grèce, les Diables rouges ont concédé le partage 1-1 dans une partie peu emballante.

C'est généralement l'évènement qui lance une grande compétition. Le premier match de préparation représente toujours le coup d'envoi des choses sérieuses. En raison du contexte particulier, le délai qui le sépare du début de l'Euro est court.

Alors que Thomas Vermaelen, Jan Vertonghen, Axel Witsel, Kevin De Bruyne ou encore Eden Hazard manquent à l'appel, le sélectionneur de la Belgique, Roberto Martinez, a notamment choisi de titulariser l'ailier du Stade Rennais Jérémy Doku (19 ans) contre la Grèce jeudi (20h45, à suivre en dir

«», le fleuve qui marque la frontière terrestre entre la Grèce et la Turquie, a annoncé jeudi à l'AFP un responsable de la police grecque de cette région frontalière, par laquelle entrent en Europe de nombreux migrants.

Le projet, officiellement lancé mercredi, après la signature en novembre dernier d'un accord entre Athènes et le géant allemand de l'automobile, vise à remplacer entièrement les véhicules d'Astypaléa par un millier de voitures électriques Volkswagen.