Caramanlis critique sévèrement le retrait du PASOK des débats sur la révision constitutionnelle
C'est en pointant "les bancs vides" du PASOK (parti socialiste) que le premier ministre, Costas Caramanlis, a ouvert les débats en séance plénière du Parlement mercredi en début d'après-midi en vue de la révision constitutionnelle. Une absence qui "exprime une tentative de sape des plus cyniques, un mouvement concerté", a fustigé le premier ministre. M. Caramanlis, a encore dénoncé l'absence du principal parti de l'opposition des tribunes de l'hémicycle le qualifiant de "violation annoncée de la Constitution".