"Il existe deux types de personnes : celles qui adorent la soupe de tripes et celles qui la détestent. Il n'y a pas de juste milieu", explique d'emblée Marina Petridou dans le magazine Gastronomos, supplément culinaire du quotidien I Kathimerini.
La journaliste raconte son expérience personnelle avec ce plat typique et populaire du nord de la Grèce, à la fois "institution, tradition et médicament", souvent ingurgité comme remède après une soirée arrosée.
"Moi, j'ai adoré. La première fois où je l'ai goûté reste inoubliable", assure la journaliste, qui retrace son initiation au patsas dans un restaurant spécialisé de Thessalonique, deuxième ville du pays. "Si tu veux manger une bonne soupe de tripes, c'est par là que tu dois commencer."
Nourriture des dieux
La journaliste décrit...