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Deux semaines cruciales pour tenter d'éviter le Grexit in extremis

Publié dans Le Figaro le
Le parlement grec, à Athènes.
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Le parlement grec, à Athènes. Crédits photo : ANDREAS SOLARO/AFP

Les électeurs grecs ont donc tranché. Leur non aux mesures mises sur la table des négociations par les créanciers fait basculer leur pays «dans l'inconnu», «dans le vide», comme l'a dit François Hollande. Pour autant, le résultat électoral va-t-il inéluctablement précipiter la Grèce hors de la zone euro, comme l'assure, entre autres partisans étrangers du oui, Martin Schulz, le président du Parlement européen?

Le scénario des prochains jours est jalonné d'échéances financières incontournables et de données économiques intangibles. Mais il sera conditionné par des décisions politiques, celles des chefs d'État et de gouvernement européens, celles aussi, déterminantes, de Mario Draghi à la Banque centrale européenne (BCE).

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