Ce samedi, le pape François est arrivé en Grèce après avoir passé deux jours sur l'île divisée de Chypre. Il a, parmi les points à son programme, des rencontres avec le premier ministre, Kyriakos Mitsotakis (Nouvelle Démocratie, droite conservatrice), avec la présidente de la République, Katerina Sakellaropoulou, avec l'archevêque Ieronymos, le plus haut responsable de l'Eglise orthodoxe grecque ou encore une visite sur Lesbos où il s'était déjà rendu en 2016. Comme à Chypre, il devrait répéter à ces interlocuteurs grecs le message de réconciliation et d'unité tout en fustigeant les «murs de la peur» et les «intérêts nationalistes» qui entravent la coopération européenne.
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