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Droutsas obligé de rappeler l'opposition de la Grèce au casus belli turc

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Par iNFO-GRECE,

Après la levée des boucliers en Grèce dénonçant la passivité du ministre adjoint aux Affaires étrangères Dimitris Droutsas, lequel ne s'était pas senti obligé de commenter les déclarations du ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, affirmant, quelques heures avant le match de basket Turquie-Grèce le 31 août dernier où les deux ministres assistaient ensemble, que la Turquie n'avait pas l'intention de lever le casus belli à l'encontre de la Grèce aux sujet du périmètre des eaux territoriales, le ministère des Affaires étrangères a enfin réagit hier par la déclaration d'un porte-parole.

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Grigoris Delavekouras, a exhorté la Turquie à lever le casus belli à l'encontre de la Grèce, dans un commentaire jeudi lors de son point de presse où il a été invité à prendre position sur les déclarations de M. Davutoglu.

"L'extension des eaux territoriales grecques jusqu'à 12 milles est un droit souverain du pays, qui est prévu explicitement par le Droit de la Mer et fait partie de l'acquis communautaire. Le seul fait qu'il existe un casus belli est inacceptable. Il est impensable qu'il existe un casus belli de la part d'un pays candidat à l'adhésion contre un pays membre de l'UE, en tenant compte en plus du cadre dans lequel se développent les relations internationales à notre époque. C'est l'affaire de la Turquie de le supprimer (le casus belli)", a déclaré M. Delavekouras, poursuivant ensuite à propos des relations bilatérales en général, que la partie grecque soutient le rapprochement euro-turc et qu'elle continuera l'effort d'améliorer les relations bilatérales "avec des pas très prudents et sans porter atteinte aux droits souverains".

On apprenait par ailleurs, que M. Droutsas pourrait rencontrer l'envoyé spécial de l'ONU pour le règlement du nom de la FYROM (Ancienne république yugoslave de Macédoine), Matthew Nimetz, ainsi que le premier ministre de la FYROM, Nikola Gruevski en marge des travaux à New York de l'Assemblée générale des Nations unies, mais aucun calendrier n'est encore fixé, la rencontre dépendant du programme de M. Nimetz.

i-GR/ANA-MPA

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Anonyme

C'est difficile à vous comprendre. Vous empêchez un petit pays de prendre le nom qui leur revient ou même qui leur convient. Peu importe. Vous décidez de part vous-même d'étendre vos eaux téritoriales. La Turquie s'y oppose car les 12 miles toucheront les côtes turques. Le casus belli ne disparaîtra jamais tant que la Grèce ne changera ses d'attitudes provocatrices et menaçantes envers la Turquie. Quand comprendrons les polititiens grecques que l'antiquité est terminée depuis bien longtemps. Même la crise ne leur permet pas de revenir sur terre. Ceci dit, je suis turc. J'aime la Grèce et les grecs amis leurs polititiens ne valent pas un drachme. Slt

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ven 03/09/2010 - 19:18 Permalien
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Anonyme

En réponse à par Anonyme

La Grèce ne demande que le respect des règles du droit maritime comme le ferait tout pays digne de ce nom! Quant aux problèmes avec l'Arym, c'est bien ce pays qui refuse d'admettre son identité bulgare et qui provoque en nommant son aéroport Alexandre le Grand sans compter le drapeau ou toute autre référence antique! Un fois de plus, les historiens donnent raisons à la Grèce et dénoncent l'attitude provocatrice de ce pays qui veut s'approprier un passé qui ne lui appartient pas! Quant aux contentieux de la Grèce, on peut en dire au moins autant de la Turquie avec ses autres voisins notamment arméniens,bulgares,kurdes(d'ailleurs au passage ils ne méritent pas de pays sans vouloir polémiquer?)

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ven 03/09/2010 - 23:58 Permalien
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Anonyme

Hey le turc, ça te plairait qu'un pays voisin de la Turquie pille son patrimoine historique, par exemple en proclamant que M. Kemal est SON grand héro, et n'est pas turc ? Quand à la petite phrase du ministre turc, bah, ce ne sont que des mots... Il dit ce qu'il veut si ça lui fait plaisir et s'il se sent puissant aprés cela ! Le ministre grec avait bien fait de ne pas réagir dans un premier temps. Mais la presse grecque a du monter sur ses grands chevaux et l'a peut-être obligé à cette réaction.

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sam 04/09/2010 - 03:34 Permalien
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Anonyme

Quand comprendrons les polititiens grecques que l'antiquité est terminée depuis bien longtemps. Même la crise ne leur permet pas de revenir sur terre. .... Et quand comprendra Ankara qu'aucun pays de l'UE ne s'oppose à cette extension et que chercher des casus belli dans le moindre recoin de la politique grecque c'est enfreindre les lois internationaux? Ou est votre devise: paix en Turquie, paix dans le monde? On vous laisse tranquille, mais apparement c'est une habitude que de chercher des poux! sakinou85

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lun 06/09/2010 - 10:49 Permalien