L'éducation, la crise économique et ses conséquences sur les Grecs en Europe, les problèmes sociaux, politiques et d'emploi auxquels ils sont confrontés, ainsi qu'une série de dossiers préoccupant les communautés grecques dans chaque pays européen séparément, ont été à l'ordre du jour des travaux de la 2e session des Fédérations des communautés grecques d'Europe, organisée le week-end dernier à Bruxelles par la Fédération des communautés grecques de Belgique.
Dans un climat général d'optimisme avec la participation de toutes les fédérations grecques d'Europe, toutes les parties ont souligné cet effort, engagé il y a tout juste un an lors de la session fondatrice à Stockholm.
"Le plus important de tout, cependant, a été le débat fécond sur les problèmes, auxquels font face les Grecs d'Europe, les propositions innovantes et le fait que pour la première fois, les associations grecques de l'étranger se sont penchées sur des questions tabou, en créant des attentes pour l'avenir", souligne, antre autres, un communiqué du secrétariat exécutif du Conseil de coordination des Fédérations grecques d'Europe.
Le secrétriat exécutif a décidé, pour subvenir aux besoins accrus, d'élargir sa composition de 5 à 7 membres (Allemagne 2, Suède 1, Belgique 1, Italie 1, Pologne 1, Espagne 1).
Etaient présents aux travaux les députés Alexandre Dermetzopoulos (ND), Alexandre Athanassiadis (PASOK) et Nicolas Gantzis (KKE).
Le DG du Secrétariat général de l'Hellénisme de la diaspora, Ioannis Kyparissidis, a transmis le message du secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, Théodore Kassimis.
Le nouveau secrétariat exécutif se réunira le 13 juin.
i-GR/ANA-MPA