Trois pièces de théâtre sur la montée du nazisme à Athènes, des manifestations qui se multiplient dans tout le pays, en pleine campagne électorale pour les législatives du 21 mai : pas de doute la mobilisation contre l'extrême droite fait tache d'huile en Grèce. Comment pourrait-il en être autrement ? Sur les trente-six partis en lice, cinq sont d'extrême droite. Au sein du parti conservateur-libéral Nouvelle Démocratie du Premier ministre sortant, trois ministres de cette mouvance ont été nommés à des postes clés par Kyriakos Mitsotakis au lendemain de sa victoire aux élections du 7 juillet 2019.
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