Rien n'arrête l'Italie. Pas même le mur dressé par John Van't Schip le sélectionneur de la Grèce. Evidemment, rien ne dit qu'il aurait fini par se fissurer sans une main de Bouchalakis dans sa surface (62e) mais puisque le défenseur grec a eu le tort de contrer de manière illicite une frappe d'Insigne, force est de constater que la sélection dirigée par Roberto Mancini sait aussi se contenter des miettes pour enchaîner. Elle a obtenue ce samedi soir un septième succès d'affilée synonyme de qualification pour l'Euro 2020.
C'est ce que l'on retiendra de son match, le sentiment du devoir accompli, plutôt que la manière qui a trop souvent laissé à désirer. Privés d'espaces, beaucoup trop statiques et pas assez justes techniquement, Verratti et ses équipiers n'ont absolument rien montré en première période. La première situation de frappe dangereuse n'est intervenue qu'à la demi...