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L'Eurogroupe exige de nouvelles propositions de réformes de la Grèce

Publié dans La Tribune le
Ce "non" ne signifie pas "une rupture avec l'Europe" mais "le renforcement de notre pouvoir de négociation" avec les créanciers, UE et FMI, a réagi dimanche soir le Premier ministre grec Alexis Tsipras.
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Ce "non" ne signifie pas "une rupture avec l'Europe" mais "le renforcement de notre pouvoir de négociation" avec les créanciers, UE et FMI, a réagi dimanche soir le Premier ministre grec Alexis Tsipras. (Crédits : MARKO DJURICA)

Publié le 06/07/2015 à 07:48. Mis à jour le 06/07/2015 à 12:18.

Les résultats définitifs du référendum qui s'est tenu en Grèce dimanche 4 juillet sont tombés dans la nuit. Le "non" aux propositions des créanciers du pays sur de nouvelles mesures de rigueur l'a emporté avec 61,31% contre 38,69%, a fait savoir le ministère de l'Intérieur lundi un peu après minuit. Selon les chiffres publiés après dépouillement de la totalité des bulletins de vote, la participation s'établit à 62,5%.

Dès la fermeture des bureaux de vote et la publication des premiers résultat dimanche en fin d'après-midi, les réactions et les annonces ont suivi en chaîne, définissant le calendrier des prochains jours.

  • Ce "non" ne signifie pas "une rupture avec l'Europe" mais "le renforcement de notre pouvoir de négociation" avec les créanciers, UE et FMI, a réagi dimanche soir le Premier ministre grec Alexis Tsipras. Dans une allocution télévisée, le Premier ministre a également a assuré que son gouvernement était "prêt à reprendre la négociation avec un plan de réformes crédibles et socialement justes" et que "cette fois...
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