Les Grecs ont dit « oxi », « non ». Appelés à se prononcer sur le nouveau plan d'aide proposé par les créanciers internationaux, ils l'ont rejeté dimanche 5 juillet à 61,3 %.
Victorieux, le premier ministre, Alexis Tsipras, a assuré que les représentants d'Athènes voyaient ainsi leur « pouvoir de négociation renforc? avant une nouvelle réunion de l'Eurogroupe avec les ministres des finances des autres Etats de la zone euro.
- Quelle était la question ?
- Pourquoi les Grecs ont-ils voté « oxi » ?
- Pourquoi Varoufakis a-t-il démissionné ?
- Quels sont les scénarios possibles maintenant ?
- Si la Grèce sort de l'euro et que la crise s'aggrave, qui sera touché en Europe ?
Quelle était la question ?
Contrairement à ce qui a pu être dit ici ou là, le référendum n'appelait pas les Grecs à se prononcer pour ou contre leur maintien dans la zone euro, ni pour ou contre l'Union européenne. Il s'agissait d'avaliser ou non le plan d'aide proposé par les créanciers du pays (Commission européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international), et ses conséquences. Voici la question posée aux...