Qu'il s'agisse du gouvernement grec dont le Premier ministre, Alexis Tsipras, a mis récemment pour la première fois une cravate pour signifier qu'il considérait qu'il avait résolu le problème de la dette ou des institutions de la célèbre « Troïka » - le FMI, la BCE et la Commission euro
Il est l'idole de la gauche de la gauche française. Déjà applaudi quand il a claqué la porte du gouvernement Tsipras, en juillet, Yanis Varoufakis, le turbulent ex-ministre des Finances grec, est depuis sollicité de toutes parts.
Alors que les intentions de vote se resserrent en Grèce en vue de dimanche, la question n'est plus de juger du bien-fondé du référendum, ni de se demander s'il aura véritablement lieu, mais bien de savoir quelle réponse le peuple grec va donner aux propositions des créanciers d'Athènes.
Les besoins de financement globaux du pays ont été aggravés par «?d'importants changements politiques?» à Athènes sur fond de croissance revue drastiquement à la baisse en 2015, à 0% contre 2,5% attendus en avril, assure le FMI.
Ce devait être un simple coup de projecteur sur le cinéma grec, ce fut au finale un programme complet sur la culture grecque, avec concert de musique, expo, conférences et films bien sûr, que la jeune association Philiki a proposé le week-end dernier à Pau, dans les Pyrénées Atlantiques.