Des ports aux chemins de fer, la Grèce se doit de vendre "ses bijoux de famille" pour éponger ses dettes alors que les contours du vaste programme de privatisations exigé par ses créanciers restent flous et que les cessions menées jusqu'ici ont tourné au fiasco.
Sbam001 - Le pays est incapable de survivre par ses propres moyens. Aucune des réformes qui devaient permettre une reprise de l'économie n'a été mise en ?uvre, et ce n'est pas Syriza qui va faire changer les choses...