La Grèce obtient un délai de deux ans pour réduire son déficit budgétaire.
Malgré les comptes truqués du passé, la Grèce satisfaisait aux critères de la zone euro et la décision d'y accueillir la Grèce n'est plus mise en question. La Commission est satisfaite du rétablissement d'une coopération sincère avec Athènes.