Comme toujours, les Allemands se sont montrés difficiles à persuader. Il a fallu six heures de négociations pour arracher à Olaf Scholz, le ministre allemand des Finances, son consentement afin que la dette grecque - 273,7 milliards d'euros - soit envisagée comme soutenable.
« Thessaloniki mou, megali ftochomana », le couplet d’introduction de la chanson, devenu un hymne de tous les Thessaloniciens, et plus encore de ceux qui ont eu à s’expatrier.
Alors que les taux d'intérêt des emprunts d'Etat italiens alarment un quotidien comme Die Presse, en Autriche - qui se remémore la similitude de la situation en Grèce il y a trois ans!
Dans une interview aux « Echos », le commissaire européen à l'Economie et aux Finances revient sur huit années de crise. Il reconnaît des erreurs collectives, mais invite à ne pas sous-estimer les efforts des créanciers.