La Grèce a levé mercredi 2,5 milliards d'euros grâce à la réouverture d'un livre d'offres pour une obligation à dix ans émise en juin, afin de pallier les conséquences économiques de la pandémie de Covid-19. Le taux d'intérêt de l'obligation était fixé à 1,23%.
"Faire couler un bateau". Tel est le titre choc de la une de Ta Nea le 2 septembre, après la publication, la veille, par un journal allemand d'un reportage intitulé "La guerre calculée d'Erdogan" en mer Méditerranée.
La Grèce a annoncé mercredi 2 septembre le premier cas de contamination au coronavirus dans camp de migrants de Moria, le principal du pays, où vivent dans des conditions insalubres près de 13.000 demandeurs d'asile.
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RÉCIT - Mobilisés depuis trois semaines en permanence, les soldats, tous réquisitionnés, sont sur le pied de guerre face à la persistance des violations turques dans les eaux territoriales grecques.
Athènes
Les conséquences économiques de la crise liée au coronavirus continuent de se faire sentir dans le monde, où quasiment tous les pays sont en récession.
Alors que les tensions croissent en Méditerranée orientale, la Grèce serait entrée en discussion avec plusieurs pays dont la France pour acheter des équipements militaires et renforcer son armée, a déclaré un responsable du gouvernement d'Athènes à Reuters, mardi 1er septembre.
La Grèce a annoncé ce mardi vouloir rouvrir le livre d'offres pour une obligation à dix ans émise en juin, afin de pallier les conséquences économiques de la pandémie de Covid-19.
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Athènes et Paris se reparlent depuis plusieurs jours sur un possible rééquipement des forces armées grecques.
Les autorités sanitaires britanniques estiment qu'au moins sept personnes de trois cercles sociaux différents ont été infectées à bord d'avion.
La Turquie a accusé lundi 31 août la Grèce d'actes de «piraterie» en essayant d'«armer» une île démilitarisée située à proximité du littoral turc dont le statut est au coeur des tensions actuelles en Méditerranée orientale.