La communauté française célébrera la Fête Nationale du 14 juillet 07 à l’Ecole française d’Athènes, le vendredi 13 juillet 2007, de 19h30 à 22h30. Ce sera la première célébration en Grèce pour le nouvel ambassadeur de France, Christophe Farnaud, qui succède depuis juillet à Bruno Delaye.

La statue de Zeus à Olympie n'est plus une merveille et l'Acropole ne le sera pas. Ainsi en tout cas l'ont voulu les internautes. Au terme d'un suspense savamment entretenu par le marketing de l'opération, les nouvelles sept merveilles du monde ont été proclamées samedi soir lors d'une cérémonie au stade Benfica de Lisbonne. Malgré le vote massif de millions d'internautes, l'ONU, qui via l'Unesco dispose d'un programme de protection du patrimoine mondial, avait pris ses distances avec le cinéaste-aventurier suisse, Bernanrd Weber, initiateur du projet.

41 complexes hôteliers vont être fermés par les autorités grecques pour non conformité aux certificats d'assurance incendie malgré les sommations répétées des contrôleurs. Le ministre du Développement touristique, Fani Palli-Petralia, a reconnu lors d'une conférence de presse qu'il s'agissait d'une décision difficile, mais qu'il fallait « assainir le secteur hôtelier » et ne plus couvrir les manquements à la loi.

Les questions relatives au Patriarcat oecuménique, la perspective européenne de la Turquie et la situation dans la région élargie ont été au centre des entretiens mercredi au Vatican du ministre des Affaires étrangères, Dora Bakoyannis, avec le pape Benoît XVI, alors que par la suite, Mme Bakoyannis s'est entretenue avec le ministre des Affaires étrangères du Vatican, Mgr Dominique Mamberti.

Ménages et entreprises n'en finissent plus avec l'endettement en Grèce. Selon les chiffres publiés mercredi par la Banque de Grèce (BdG) l'augmentation de l'endettement des ménages et des entreprises est de 19,2% à la fin avril 2007 par rapport à la même période de référence en 2006, alors que l'endettement net de l'Etat a, lui, diminué de 13,9% (- 5,1 milliards d'euros) sur la même période.

Reboisement, risques d'inondations et tentations de spéculation immobilière sont les thèmes qui reviennent le plus souvent dans les discussions à Athènes après l'incendie qui a ravagé 4 jours durant le mont Parnès (Parnitha), le dernier poumon vert de la périphérie de la capitale grecque. Une première réunion interministérielle a eu lieu ce mercredi pour mettre en place deux groupes de travail chargés des études. Pendant que les ONG font également valoir leur expertise de l'écosystème, des grandes entreprises et des banques se proposent de sponsoriser le reboisement. Quant aux partis politiques, l'opposition réclame un débat au parlement.

En visite à Istanbul, le président du PASOK (parti socialiste, opposition), Yorgos Papandreou, s'est rendu mercredi au Phanar où il été a reçu par le patriarche oecuménique de Constantinople, SS Vartholomeos 1er, avec lequel il a eu un long entretien avant de participer au déjeuner offert en son honneur. Malgré les pressions internationales, la Turquie refuse de reconnaître le caractère oecuménique du patriarcat, ce qui lui permet d'exercer un un encadrement très contraignant sur les activités, les biens et le fonctionnement de l'institution phare de l'Orthodoxie.

Le mont Parnès (Parnitha) est toujours surveillé par les pompiers grecs, mais l'important incendie qui a ravagé le mont à 50km au nord d'Athènes, a été largement circonscrit, alors qu'on décomptait jusqu'à 50 incendies à travers le pays dans les 24 dernières heures suite à la canicule record de mardi dernier.

Les médecins traitants de l'archevêque d'Athènes et primat de Grèce, Mgr Christodoulos, ont publié vendredi un communiqué selon lequel ils reconnaissent pour la première fois la gravité de l'hospitalisation du prélat. Hospitalisé mercredi 13 juin initialement pour des problèmes gastoentériques dus au rétrécissement de l'intestin, Mgr Christodoulos devait sortir au bout de 48 heures. Depuis l'échéance a été sans cesse retardée.

L'UE a annoncé vendredi à Bruxelles avoir inclus l'organisation grecque "Lutte Révolutionnaire" dans la liste des organisations terroristes de l'UE lors de sa dernière actualisation où l'entrée de "Lutte Révolutionnaire" s'accompagne du retrait de trois organisations italiennes "Nuclei Territoriali Antiimperialisti", "Nuclei di Iniziativa Proletaria Rivoluzionaria" et "Nuclei di Iniziativa Proletaria".