La nouvelle fantaisie de Charlie Covell («The End of the F***ing World») plante Jeff Goldblum dans le rôle de Zeus. Au moment où la domination des dieux, dans ce monde moderne, vacille...
Il est inquiet, Zeus. Un matin, il s'est découvert une nouvelle ride sur son front, verticale. Et ça le travaille, parce qu'il pense à une prophétie qui parlait d'une trace. Elle annoncerait la fin du monde tel qu'on le connaît: le douillet Olympe là-haut, les dociles humains en bas. Zeus tente de joindre par téléphone - ça évolue, les dieux - ses innombrables enfants, ils sont tous sur répondeur. Seul Prométhée, qui se fait toujours ronger le foie par un aigle sur sa paroi rocheuse à titre de punition, apparaît à la demande du roi des divinités.
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