Les soupçons de corruption de responsables politiques et syndicaux par le Qatar, révélés par les journaux belges Le Soir et Knack provoquent un tremblement de terre en Grèce. Car parmi les personnes perquisitionnées par l'Office central pour la répression de la corruption se trouve Eva Kaili, députée grecque au Parlement européen et vice-présidente de l'institution. Dimanche, elle a été inculpée et écrouée.
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