Sans surprise, le conseil européen de la semaine dernière a une nouvelle fois repoussé la réforme de l'asile et l'immigration. Il s'agit d'un ensemble de sept textes européens, dont cinq ne posent pas de problème particulier et « permettraient d'améliorer significativement la situation aux frontières de l'Europe », précise-t-on à Bruxelles. La question était donc posée de savoir si l'on pouvait disjoindre les cinq textes pour lesquels les 27 sont d'accord des deux autres, plus problématiques.
Le Néerlandais Mark Rutte a ouvert la discussion sur la dissociation en question. Jean-Claude Jun...
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