Correspondante à Istanbul
C'est la première rencontre du genre en près de cinq ans. La visite, ce lundi, d'une délégation grecque à Istanbul signale une volonté évidente de Recep Tayyip Erdogan de désamorcer la crise qui empoisonne ses relations, déjà compliquées, avec l'Union européenne. Assis autour de la même table dans l'enceinte du prestigieux palais Dolmabahçe, sur la rive européenne du Bosphore, diplomates turcs et grecs ont évoqué le différend qui les oppose autour de l'exploration d'hydrocarbures en Méditerranée orientale.
La reprise de ces « pourparlers exploratoires », qui avaient été interrompus en 2016, a une dimension particulièrement symbolique : elle ambitionne de restaurer un climat de confiance, à l'issue d'une année 2020 explosive, jalonnée de provocations verbales mutuelles et d'escalade militaire à renfort d'envoi de navires de recherche et de frégates de l'armée turque dans les zones disputées entre les deux pays.
Sanctions européennes
Le choix du calendrier n'est pas anodin. Ce rapprochement, amorcé par le président turc, intervient au moment où la Grèce est en train de conclure l'achat de 18 avions de combat Rafale (*) à...
Fin de non-recevoir
Fin de non-recevoir
Fin de non-recevoir
Je suis absolument d'accord avec vous !
Je suis totalement courieuse pour le contenu de cette discussion puisqu'ils sont absents les moyens qui tendent à faire déclarer irrecevable une assignation en partager, faute de comporter un descriptif sommaire du patrimoine grecque qui n'est pas disposée à partager, pour limiter des intentions du demandeur, qui est toujours la Turquie ! Jour de la Marmotte !!!
Qui vivra, verra !!!