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Thessaloniki mou - paroles Christos Kolokotronis

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Année

« Thessaloniki mou, megali ftochomana », le couplet d’introduction de la chanson, devenu un hymne de tous les Thessaloniciens, et plus encore de ceux qui ont eu à s’expatrier.

Θεσσαλονίκη μου

Θεσσαλονίκη μου, μεγάλη φτωχομάνα,
εσύ που βγάζεις τα καλύτερα παιδιά·
Θεσσαλονίκη μου, μεγάλη φτωχομάνα,
όπου κι αν πάω σ’ έχω πάντα στην καρδιά.

Θεσσαλονίκη μου, ποτέ δε σ’ απαρνιέμαι·
είσ’ η πατρίδα μου, το λέω και καυχιέμαι.

Θεσσαλονίκη με τα τόσα σου μεράκια,
βγάζεις τα πιο όμορφα κορίτσια στον ντουνιά·
βράδια μποέμικα, τραγούδια στα σοκάκια,
γλέντια, ξενύχτια, μες στην κάθε γειτονιά.

Θεσσαλονίκη μου, ποτέ δε σ’ απαρνιέμαι·
είσ’ η πατρίδα μου, το λέω και καυχιέμαι.

Θεσσαλονίκη μου, κι αν είμαι μακριά σου,
πάντα θυμάμαι τ’ όνομά σου το γλυκό·
αχ, πώς νοστάλγησα να ξαναρθώ κοντά σου,
κι ας ξεψυχήσω μπρος τον πύργο το λευκό.

Θεσσαλονίκη μου, ποτέ δε σ’ απαρνιέμαι·
είσ’ η πατρίδα μου, το λέω και καυχιέμαι.

Θεσσαλονίκη μου

Ma Thessalonique, première Mère des pauvres,
toi qui a les meilleurs gars ;
ma Thessalonique, première Mère des pauvres,
partout où je vais, je t'ai toujours dans mon cœur.

Ma Thessalonique, jamais je ne te renierai;
tu es ma patrie, je le dis et je m’en vante.

Thessalonique aux tant d’humeurs,
tu as les plus belles filles du monde ;
soirées bohèmes, chansons dans les ruelles,
fêtes et nuits blanches, dans chaque quartier.

Ma Thessalonique, jamais je ne te renierai ;
tu es ma patrie, je le dis et je m’en vante.

Ma Thessalonique, même quand je suis loin de toi,
je me souviens toujours de ton doux nom ;
ah, comme je voudrais revenir près de toi,
et que je laisse mon âme devant la Tour blanche.

Ma Thessalonique, jamais je ne te renierai ;
tu es ma patrie, je le dis et je m’en vante.

« Thessaloniki mou, megali ftochomana / Ma Thessaloniki, première Mère de la pauvreté », le couplet d’introduction de la chanson, inspiré par la misère qui prévalait dans la seconde ville de la Grèce dans l'après-guerre, s’est identifié avec la ville et est devenu un hymne intemporel de tous les Thessaloniciens, et plus encore de ceux qui ont eu à s’expatrier pour une meilleure fortune. La voix authentiquement populaire de Stelios Kazantzidis a établi la chanson comme la plainte de l'enfant à la mère, qui en même temps exprime le grand amour à sa ville natale.

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Adaptations musicales
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