Il y a deux semaines, François Hollande avait donné des gages à Angela Merkel. «Tous les pays ont écarté l'idée d'un troisième plan d'aide» à la Grèce, avait-il juré après des heures de négociations avec Athènes. Le sujet était tabou pour de nombreux pays de la zone euro, dont l'Allemagne. La chancelière est confrontée à une pression toujours plus forte de sa majorité pour cesser d'aider la Grèce à fonds perdus.
Pourtant, c'est elle qui en a parlé dans la nuit de mardi à mercredi, alors que les jours avant un Grexit se comptent sur ...
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