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Le vote grec divise la classe politique

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François Fillon estime que «le maintien de la Grèce dans l'euro ne doit pas conduire à bafouer tous les engagements pris par les États membres» quand Claude Bartolone appelle à la reprise «des négociations entre le gouvernement d'Athènes et les institutions créancières».
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François Fillon estime que «le maintien de la Grèce dans l'euro ne doit pas conduire à bafouer tous les engagements pris par les États membres» quand Claude Bartolone appelle à la reprise «des négociations entre le gouvernement d'Athènes et les institutions créancières». Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro

La classe politique française a réagi en ordre dispersé au non grec et à la perspective ouverte d'une sortie de la Grèce de la zone euro. Si à gauche on souhaite que des négociations puissent reprendre rapidement avec Athènes, des personnalités de droite évoquent ouvertement un Grexit et lancent une mise en garde au président François Hollande.

La gauche de la gauche et les «frondeurs» du PS ont évidemment salué la victoire du non à Athènes. «Les chantages financiers et mesquineries politiques n'auront pas eu raison du souffle de dignité et de liberté qui a envahi le berceau de la démocratie. (?) Je mets en garde contre toute nouvelle entreprise de pression politique et financière sur le peuple grec», a lancé Pierre Laurent, secrétaire national du PCF.

Marine Le Pen. Crédits photo : RAYMOND ROIG/AFP

«La France doit saisir le moment pour choisir une stratégie enfin assumée de réorientation. La France a jusqu'ici adopté une stratégie de médiatrice. Il est temps désormais que le président de la République choisisse un chemin: celui attendu par les Français qui lui avaient confié le mandat en 2012», a assuré pour sa part le «frondeur»...

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