La Grèce va réclamer 279,8 milliards d’euros à l'Allemagne
Published in
La Libre
on
La somme est rondelette : 279,8 milliards d'euros et pas un sou de moins, c'est la somme qu'Athènes va réclamer à Berlin dans les prochains mois. (...)
il pourrait aussi en réclamer au Royaume-Uni pour son comportement agressif poussant la Grèce à la guerre civile . Petite anecdote de nos jours, Churchill ordonne alors « de se comporter avec les Grecs comme avec une population conquise qui se révolte ». Churchill a préféré collaborer avec les nazis et leurs collaborateurs plutôt que de voir des communistes s’installer dans le gouvernement d’un pays dont il considérait qu’il était sa part du gâteau.
Et aussi aux USA .La Grèce devient le laboratoire d’expérimentation des guerres américaines à venir.Les premières bombes au napalm seront jetées sur les montagnes grecques. L’intervention de troupes commandos spécialement formées par les Etats-Unis provoquera l’écrasement de l’Armée Démocratique, laissant plus de 150 000 morts des deux côtés, tribut grec à la Guerre Froide.
Ainsi en Grèce nulle épuration au sein de l’État n’est venue modifier un personnel politique et une administration qui sont parfois en place depuis avant-guerre, la dictature de Metaxas, avec leur arsenal de lois de répression. Les tribunaux d’exception condamnent les progressistes et les anciens résistants en les envoyant devant le peloton d’exécution jusqu’en 1953, quatre ans après la fin des combats. Pendant des années, tortures et privations sont le quotidien des hommes et des femmes enfermés dans les camps de redressement et exilés dans les îles déshéritées de la mer Égée. Pire, l’État grec a été modelé par ce parrainage britannique ; « ainsi la reconstitution d’une gendarmerie est confiée au responsable de la gendarmerie d’Ulster qui avait servi auparavant contre les Boers en Afrique du Sud. Il sera ensuite envoyé en Palestine. »
La dette mondiale de tous les états s'eleverait à 184.000 milliards de dollars soit le double du PIB mondial (selon FMI). Les USA,la Chine et le Japon en prennent la 1/2 à leur compte.
Rien d'étonnant à la situation actuelle (récession, stagnation, protectionnisme,...)
Je le vois bien qu'on mène une politique de la planche à billets. Il faut une relance sans quoi des plans d'austérité malgré des taux d'intérêt bas.
"Un endettement et des déficits importants amoindrissent les capacités des gouvernements de répondre avec des politiques budgétaires soutenant l'économie en cas de récession", a souligné le FMI. ( La Tribune) .
Un recalibrage de la politique budgétaire serait souhaitable pour faire redescendre à moyen terme le ratio de la dette publique au PIB. (L'Economiste)
Qui plus est, près de la moitié de cette dette est assortie de conditions non concessionnelles. Ce qui a doublé en dix ans la charge d’intérêt en pourcentage des recettes fiscales. Cette dynamique généralisée d’endettement s’explique par les énormes déficits primaires . Ce niveau élevé de la dette publique et des déficits est préoccupant, alerte l’équipe du FMI. Les pays qui y sont exposés sont vulnérables à un resserrement soudain des conditions financières mondiales qui pourrait bloquer l’accès aux marchés et freiner l’activité économique.
Bon amusement pour nos gouvernants quand ils devront expliquer la situation réelle des finances,...
L’Allemagne préfère Hayek à Keynes
Allemagne : pourquoi tant de haine contre la Grèce?
Pourquoi la Grèce provoque-t-elle l'Allemagne sur les réparations de guerre ?
même la Pologne
Même la Pologne exige des réparations de guerre à l'Allemagne (rtbf)
et le Royaume Uni, les USA,...
il pourrait aussi en réclamer au Royaume-Uni pour son comportement agressif poussant la Grèce à la guerre civile . Petite anecdote de nos jours, Churchill ordonne alors « de se comporter avec les Grecs comme avec une population conquise qui se révolte ». Churchill a préféré collaborer avec les nazis et leurs collaborateurs plutôt que de voir des communistes s’installer dans le gouvernement d’un pays dont il considérait qu’il était sa part du gâteau.
Et aussi aux USA .La Grèce devient le laboratoire d’expérimentation des guerres américaines à venir.Les premières bombes au napalm seront jetées sur les montagnes grecques. L’intervention de troupes commandos spécialement formées par les Etats-Unis provoquera l’écrasement de l’Armée Démocratique, laissant plus de 150 000 morts des deux côtés, tribut grec à la Guerre Froide.
Ainsi en Grèce nulle épuration au sein de l’État n’est venue modifier un personnel politique et une administration qui sont parfois en place depuis avant-guerre, la dictature de Metaxas, avec leur arsenal de lois de répression. Les tribunaux d’exception condamnent les progressistes et les anciens résistants en les envoyant devant le peloton d’exécution jusqu’en 1953, quatre ans après la fin des combats. Pendant des années, tortures et privations sont le quotidien des hommes et des femmes enfermés dans les camps de redressement et exilés dans les îles déshéritées de la mer Égée. Pire, l’État grec a été modelé par ce parrainage britannique ; « ainsi la reconstitution d’une gendarmerie est confiée au responsable de la gendarmerie d’Ulster qui avait servi auparavant contre les Boers en Afrique du Sud. Il sera ensuite envoyé en Palestine. »
La guerre civile en Grèce, laboratoire de la guerre froide
Dette mondiale
La dette mondiale de tous les états s'eleverait à 184.000 milliards de dollars soit le double du PIB mondial (selon FMI). Les USA,la Chine et le Japon en prennent la 1/2 à leur compte.
Rien d'étonnant à la situation actuelle (récession, stagnation, protectionnisme,...)
Je le vois bien qu'on mène une politique de la planche à billets. Il faut une relance sans quoi des plans d'austérité malgré des taux d'intérêt bas.
Je comprends le ras le bol ambiant.
bye bye les années de vache grasse ...
Bonjour les années de vache maigre
"Un endettement et des déficits importants amoindrissent les capacités des gouvernements de répondre avec des politiques budgétaires soutenant l'économie en cas de récession", a souligné le FMI. ( La Tribune) .
Un recalibrage de la politique budgétaire serait souhaitable pour faire redescendre à moyen terme le ratio de la dette publique au PIB. (L'Economiste)
Qui plus est, près de la moitié de cette dette est assortie de conditions non concessionnelles. Ce qui a doublé en dix ans la charge d’intérêt en pourcentage des recettes fiscales. Cette dynamique généralisée d’endettement s’explique par les énormes déficits primaires . Ce niveau élevé de la dette publique et des déficits est préoccupant, alerte l’équipe du FMI. Les pays qui y sont exposés sont vulnérables à un resserrement soudain des conditions financières mondiales qui pourrait bloquer l’accès aux marchés et freiner l’activité économique.
Bon amusement pour nos gouvernants quand ils devront expliquer la situation réelle des finances,...