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Elections territoriales en Grèce dimanche : dernières campagnes

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Par iNFO-GRECE,

Le premier ministre, Georges Papandréou, qui votera dimanche aux élections territoriales à 11h30 à Nea Erythraia (banlieue d'Athènes), s'est rendu samedi à Heraklion en Crète pour un dernier soutien au candidat du PASOK à la Région de la Crète, Stavros Arnaoutakis, et au candidat à la mairie, Yannis Kourakis.

"Nous puisons toujours nos forces de la Crète pour continuer notre lutte", a déclaré M. Papandréou, qui a été accueilli avec enthousiasme en fin de matinée place de la Liberté à Heraklion, et a visité les centres électoraux des candidats soutenus par le PASOK aux élections.

Par ailleurs, le président de la Nouvelle Démocratie (ND), Antonis Samaras, avait choisi Pylos en Messinie (Péloponnèse), où il doit voter, pour passer les 24h avant le scrutin de dimanche, le communiqué de son bureau de presse relevant ses déclarations critiques encore une fois sur le Mémorandum UE-BCE-FMI, mais aussi sa conviction que "demain nous votons pour l'espoir". "Aux élections territoriales, les citoyens adressent un message et les gouvernements les respectent chaque fois", a-t-il tranché.

La SG du CC du KKE, Aleka Papariga est allée soutenir au Pirée, place Koraï, Elpida Pantelaki, candidate à la mairie, et a dénoncé dans ses dialogues avec le public le chantage du gouvernement et a appelé à voter en dehors des deux grands partis.

Le président du LAOS, Georges Karadzaféris, qui a eu une réunion d'information avec le ministre de la Protection du Citoyen, Christos Papoutsis, a rencontré par a suite la presse autour d'une table de déjeuner et s'est dit avant tout convaincu qu'à partir de lundi, après le 1er tour des élections, il y a aura une plus grande disposition des acteurs impliqués dans ce scrutin pour s'entendre.

M. Karadzaféris a souligné en outre que son parti ne souhaitait pas des élections législatives anticipées, et a réitéré sa proposition de gouvernement d'union nationale.

i-GR/ANA-MPA

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Anonyme

Et Siriza, représentée par Alexis Tsipras et Iro Dioti, etc ?... Certains préfèrent les pantins, d'autres les êtres humains. Siriza a un discours très critique envers le gouvernement et ses prédécesseurs. A quoi sert de montrer les limites Papandréou et l'addition ND, si c'est pour faire comme si aucune critique importante n'existait, aucun autre discours n'existait. La Grèce se trouvera à nouveau gouvernée par des pantins, quel dommage pour ce pays si brillant.

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dim 07/11/2010 - 11:34 Permalien