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Absorption de 75,2% du 3e CCA à la fin 2007

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Par iNFO-GRECE,

Le taux d'absorption du 3e Cadre communautaire d'appui (CCA) a atteint 75,18% au 31.12.2007 (contre 58,0% en 2006), selon le ministère de l'Economie et des Finances mardi, les taux respectifs étant de 74,25% (contre 57,7%) pour les Programmes opérationnels sectoriels et de 77,38% (contre 58,5%) pour les Programmes opérationnels régionaux. Concernant les initiatives communautaires, le taux s'est chiffré à 70,93% (contre 52,0%).

Les plus forts taux d'absorption ont été enregistrés pour les Programmes opérationnels régionaux de Macédoine centrale (81,18%) et de Macédoine orientale et Thrace (79,25%), et les Programmes sectoriels Compétitivité (78,15%) et Education et Formation professionnelle de base (78,78%).

A l'opposé, les plus faibles performances reviennent aux Programmes sectoriels Environnement (63,39%), Culture (68,66%), Pêche (68,56%) et Santé-Prévoyance (69,42%).

Selon le secrétaire d'Etat à l'Economie et aux Finances, Yannis Papathanassiou, le taux d'absorption en mars 2004 (lors de l'arrivée de la ND au pouvoir) était tout juste de 23%, soit un triplement des performances d'absorption gloable du 3e CCA en moins de quatre ans, soulignant en outre que pour 2007, une année particulièrement difficile et cruciale pour la marche du 3e CCA, une importante accélération de l'absorption des financements a pu être assurée, et surtout un perte nulle de financements en respectant pleinement à la règle dite "n 2".

De son côté, le ministre de l'Economie et des Finances, Georges Alogoskoufis, a souligné que l'absorption des financements confirme l'efficacité et la constance de la politique gouvernementale concernant le 3e CCA.

"Cela est arrivé après un travail acharné, persistant, méthodique et bien organisé au cours des trois dernières années et demie. Toutefois, les grands retards de la période 2000-mars 2004 imposent la continuation de cet effort à des rythmes soutenus aussi en 2008, en vue d'une mise en valeur intégrale des financements communautaires. Grâce à la valorisation de ces financements, l'économie grecque devient plus productive, plus extravertie et plus compétitive", a-t-il conclu.

i-GR/ANA-MPA

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