Environ 660 départs de feu, recensés en dix jours, ont brûlé près de 50.000 hectares en Grèce. Les scientifiques évoquent des conditions climatiques «extrêmes» pour l'environnement.
Régression des forêts et des cultures, villes en surchauffe... l'écosystème en Grèce est «», préviennent des experts, après que 50.000 hectares sont partis en fumée en juillet, «» mois de juillet en plus de dix ans. «» dans les racines, constate auprès de l'AFP Charalambos Kontoes, ingénieur agronome à l'Observatoire d'Athènes.
La Grèce est frappée par une longue période de chaleur, des vents forts et la sécheresse, des conditions climatiques «», comme ailleurs sur le pourtour méditerranéen, relève de son côté Nikos Bokaris, le président de l'Union grecque des forestiers.
Le bilan provisoire des incendies, surtout en Attique, la région d'Athènes, et sur les îles touristiques de Rhodes, de Corfou ou d'Eubée, s'élève «», déplore Charalampos Kontoes, soulignant qu'à cet égard, il s'agit du «» en 13 ans.
Jeudi, le sinistre près de Volos, dans le centre-est de la Grèce, a surtout touché des champs et l'association agricole locale. Environ 660 départs de feu, en grande...