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Les Grecs scrutent les élections de leur voisin turc

Publié dans Le Figaro le

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À Athènes, on craint que le scrutin apporte plus d'incertitudes et de tensions encore.

Il est aujourd'hui difficile de trouver un Grec qui ne prononce pas parfaitement le nom du chef de l'opposition turque, Kemal Kiliçdaroglu, ou celui du maire d'Istanbul, Ekrem Imamoglu. Et cela s'explique sans doute par le fait que la campagne électorale en Turquie est largement couverte par la presse hellénique. «», lance Sia Kossioni, présentatrice du Journal télévisé de 20 heures, sur la chaîne privée Skai. Elle s'apprête à se rendre à Istanbul pour les élections du week-end, et estime que «».

Si les sondages turcs sont aussi commentés par les médias grecs, Rania Tzima, à la tête du journal télévisé de la chaîne privée Mega, refuse de faire des pronostics. «

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