Il y a dix ans, alors qu'il assurait la promotion de Casse-tête chinois, troisième volet de sa «trilogie Erasmus» après L'Auberge espagnole (2002) et Les Poupées russes (2005), Cédric Klapisch nous disait qu'il ne serait pas contre un quatrième épisode. «Dans dix ou quinze ans», afin d'accompagner l'évolution des personnages dont il est évidemment devenu très proche, un peu comme François Truffaut avait raconté sur vingt ans la vie d'Antoine Doinel, incarné dans cinq films par Jean-Pierre Léaud.
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