Les tensions en Méditerranée orientale ont mis à mal, cet été, l’équilibre et la cohésion européenne dans la région. L’armée grecque était en état d’alerte maximale quand la Turquie a envoyé à dix reprises ses vaisseaux de recherche dans des zones qu’elle dispute à la Grèce. Pour y faire face, Athènes a emprunté la voie diplomatique, sans grands résultats. Désormais même si elle défend toujours la perspective européenne de la Turquie, elle veut pousser l’Union européenne (UE) à prendre des sanctions concrètes contre Ankara, ce dont devaient discuter les chefs d’État et de Vingt-sept, ce jeudi à Bruxelles. Le ministre grec des Affaires étrangères, Nikos Dendias, met les points sur les "i"...
Continuer la lecture sur