En juillet, au lendemain du non au référendum grec, le philosophe Alain Badiou espérait, dans «Libération» qu’une nouvelle séquence s’ouvrirait. Quelques heures avant la démission d’Aléxis Tsípras, il déplorait que cette occasion politique «unique» ait été manquée par le Premier ministre grec et ses conseillers.
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