Embarrassés, le mot est faible. Les «frondeurs» socialistes et la gauche du PS, qui n'envisagent pas de voter contre le nouveau plan grec, sont écartelés entre des réflexions contradictoires: d'un côté, ils réclamaient le maintien de la Grèce dans la zone euro, et ne peuvent que féliciter François Hollande d'y être parvenu, de l'autre, ils abhorrent la potion amère infligée au peuple grec, et veulent que cet épisode sombre conduise à une réorientation radicale ...
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