La Grèce doit d'abord réformer son économie avant que la question d'une éventuelle restructuration de sa dette ne soit abordée, a redit Christine Lagarde mercredi 1er juillet. La directrice générale du FMI s'en est prise en termes voilés au premier ministre grec Alexis Tsipras.
Après avoir laissé entendre le contraire, ce dernier a réitéré son appel à ses compatriotes pour qu'ils votent non au référendum de dimanche pour ou contre les propositions des créanciers d'Athènes.
Lagarde attend toujours «des adultes»
«Nous n'avons pas le choix en ce qui concerne ceux qui représentent un pays et nous considérons tous les gouvernements dûment élus comme le partenaire légitime dans les négociations», déclare Christine Lagarde. La directrice générale du FMI, qui appelait à la mi-juin à un dialogue «avec des adultes autour de la table», n'a pas voulu dire si...