«Les traités ne prévoient pas la possibilité pour un pays d'abandonner l'euro. Je conseille vivement de ne pas mettre un pied en terre inconnue», avertit Michel Sapin, le ministre des Finances dans Le Figaro de mercredi. L'impensable, responsables politiques, experts, citoyens grecs, tout le monde y pense désormais. Selon l'équipe londonienne d'analystes de BNP Paribas Corporate & Institutional Banking, «la probabilité d'un défaut de paiement de la Grèce s'est élevée à 50 %». Or, du défaut de paiement au «Grexit» - la sortie de la Grèce de l'euro -, l'enchaînement pourrait être très rapide selon certains économistes. Et les conséquences désastreuses.
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