
Selon un porte-parole de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, « reste convaincu » qu'une solution « peut être trouvée d'ici la fin du mois ».
Les réunions « de la dernière chance » entre Athènes et ses créanciers à Bruxelles n'ont finalement pas débouché sur l'accord « réformes contre argent frais »tant espéré, qui permettrait à la Grèce, dont les caisses sont désormais vides, d'éviter un défaut de paiement aux conséquences imprévisibles et potentiellement redoutables.
#Grèce: les négociations s'interrompent à nouveau avec les créanciers. Pas d'autre rendez-vous prévu avant l'Eurogroupe du 18 juin. 1/2
? c_ducourtieux (@Cécile Ducourtieux)
Dimanche 14 juin au soir, les négociateurs du gouvernement Tsipras ont quitté ceux de la BCE, du FMI et de la Commission européenne, sur le constat d'un nouvel échec, chacun restant campé sur ses positions. « Malgré quelques progrès, des différences significatives persistent, entre les propositions des Grecs et celles des trois institutions, BCE, FMI et commission. Les discussions reprendront à l'Eurogroupe du 18 juin » a fait savoir, dimanche soir, un porte-parole de la Commission.
Et d'ajouter que le président de l'institution, Jean-Claude Juncker, demeurait persuadé qu'« avec davantage d'efforts concernant les réformes...