La Grèce sera au centre des discussions lors de l'Eurogroupe, la réunion des ministres des finances des 19 pays de la zone euro, lundi 26 janvier dans l'après-midi à Bruxelles.
Ce rendez-vous était prévu de longue date. Au programme devait figurer un débat sur les flexibilités du pacte de stabilité et de croissance, et l'accueil d'un nouvel arrivant, la Lituanie, qui a rejoint l'euro le 1er janvier 2015.
Mais le « jour d'après » la victoire écrasante d'Alexis Tsipras et de Syriza aux élections législatives, l'essentiel de l'Eurogroupe devait évidemment tourner autour de la situation grecque.
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Les grands argentiers européens, s'ils ne s'attendaient peut-être pas à un score aussi élevé de Syriza, se préparent depuis des semaines à l'arrivée de la gauche radicale au pouvoir en Grèce.
Aucune décision définitive n'est toutefois attendue lundi. D'autant que c'est Gikas Hardouvelis, du gouvernement Samaras, qui devait encore faire le déplacement à Bruxelles pour cet Eurogroupe.
- Faut-il accorder un peu de temps à Athènes pour boucler l'actuel plan...