Une dette abyssale, des guichets de banque fermés et un peuple qui crie assez aux politiques de rigueur? La tragédie grecque rappelle bien des souvenirs en Argentine. Dans la presse, à la télévision, le pays suit jour après jour le feuilleton européen.
La présidente argentine Cristina Kirchner a comparé, mercredi 1er juillet, la crise grecque au défaut de son pays en 2001, qui fut l'un des plus importants de l'histoire financière, tout en insistant sur les conséquences « terribles » des politiques d'austérité.