Déjà, tout au début de la crise grecque, en 2010, l'éditorialiste d'un grand quotidien bulgare se déchaînait : "Je ne m'inquiète pas pour les Grecs : ils continueront à recevoir de l'argent de l'Union européenne, à jouer au backgammon et à boire de l'ouzo à longueur de journée alors que nous [les