Moria : après le feu, le chaos
Un seul mot barre la une du journal Efimerida Ton Syntakton le 10 septembre 2020, sur une photo du camp de migrants et réfugiés de Moria, à Lesbos : "Crime".
Un seul mot barre la une du journal Efimerida Ton Syntakton le 10 septembre 2020, sur une photo du camp de migrants et réfugiés de Moria, à Lesbos : "Crime".
West Side. Une impression d'«enfer» et un ciel d'apocalypse : alimentés par la sécheresse et des vents violents, des incendies d'une ampleur historique continuaient mercredi de ravager la côte ouest des Etats-Unis, et ont causé la mort de six personnes dont un enfan
Emmanuel Macron assiste jeudi en Corse au sommet du "Med7", une instance informelle qui regroupe sept pays du sud de l'Europe. Au menu : les tensions entre la Turquie et la Grèce, afin d'éviter une escalade de la crise opposant les deux pays.
À Moria, les migrants "vivaient dans des tentes exiguës, avec un accès limité aux toilettes, aux douches et aux soins médicaux", selon le New York Times.