A droite, chacun à sa propre appréciation de la grise grecque et de ses conséquences. Parmi les ténors s'étant exprimés sur le sujet, Nathalie Kosciusko-Morizet a déjà eu l'occasion de regretter le recours des Grecs au référendum et de réclamer à Athènes des «contreparties» à la signature d'un éventuel accord.
Invitée ce vendredi matin sur France info, la n°2 des Républicains, s'est réjouie de l'annonce de nouvelles propositions grecques, à deux jours du sommet européen crucial qui décidera définitivement du sort réservé à Athènes. Mais elle a à nouveau mis en garde le gouvernement d'Alexis Tsipras. «L'Union européenne, ce soit être un espace dans lequel on met en ?uvre la réciprocité, où chacun fait des efforts. C'est important à l'égard de tous les peuples qui eux-aussi ont fait des efforts», a-t-elle assuré, réclamant à nouveau de «vraies contreparties» de la part de la Grèce.
Et d'expliciter sa pensée: «Il ne faut pas qu'on soit dans un système où c'est celui qui gueule le plus fort qui a gain de cause sur tout. Faut pas que la Grèce devienne, pardon, c'est un peu lapidaire dit comme ça, la CGT de l'Europe». «Par son style, ses manières, son...