Aller au contenu principal

Les quatre arrestations en Grèce n'ont aucun lien avec les attentats déjoués en Belgique

Published in L'Express on
La police antiterroriste grecque doit envoyer leurs empreintes digitales et des échantillons d'ADN aux autorités belges.
Légende

La police antiterroriste grecque doit envoyer leurs empreintes digitales et des échantillons d'ADN aux autorités belges.

Le parquet chargé d'enquêter sur la cellule djihadiste démantelée en Belgique l'a confirmé, les quatre arrestations de samedi en Grèce n'ont aucun lien avec les attentats déjoués jeudi par les forces de l'ordre belges. 

"Il est apparu qu'il n'y a aucun lien entre ces personnes et l'enquête", a indiqué Eric Van Der Sypt, le porte-parole du parquet fédéral. 

Pour formellement identifier les suspects et notamment le "cerveau" présumé des attentats déjoués, la police anti-terroriste grecque a envoyé leurs empreintes digitales et des échantillons d'ADN aux autorités belges, selon une source policière. Abdelhamid Abaaoud, un Belge de 27 ans d'origine marocaine, a été identifié par les médias belges comme le chef de la cellule djihadiste démantelée jeudi. Son téléphone avait été localisé en Grèce. 

 Abdelhamid Abaaoud en Grèce ?

Les arrestations se sont déroulées en milieu de journée dans un quartier central d'Athènes, à Pangrati. Des téléphones portables ont été saisis. La cellule démantelée, composée en partie de djihadistes revenus de Syrie, voulait "tuer des policiers sur la voie publique et dans des commissariats" par le biais d'attentats "dans tout le...

Explore